FamillenDanger ( FED )

Hypersexualisation des enfants

Hypersexualisation des enfants

Bonjour,

 

Je re place içi un article que j'avais écris sur le blog associatif, le 3 octobre 2011,et  dont le sujet a été repris par d'autres personnes,là je vais vous en parler plus en profondeur...Je sais que celà risque d'en choquer plus d'unes et d'uns...Mais ce tabou doit être dévoilé au grand jour...

 

Le sexe s'affiche partout et la pornographie ne connaît plus les frontières de la sexualité adulte. Tout ce qui vaut pour une génération vaut désormais pour l'autre : les modèles érotisés envahissent les dessins animés, la mode vestimentaire pour enfant ... l'enfant est considéré comme un adulte en miniature sur le plan érotique et sexuel comme en témoigne l'engouement pour les concours de mini miss.
Il en découle un affaiblissement de la différence sexuelle et de la différence des générations qui n'est pas sans conséquence sur le développement de l'enfant et de l'adolescent.
 
Hypersexualisation des enfants



ça commence comme ça et ensuite........
que font les parents?? à leurs enfants??

Un nouvel exemple de la sexualisation des petites filles”......1

Un nouvel exemple de la sexualisation des petites filles”......2

DES SOUTIENS-GORGE “AMPLIFORMES” EN TAILLE... 8 ANS

La majeure partie des soutiens-gorge vendus en grande surface et destinés aux petites filles de 8 à 10 ans sont de type Wonderbra, dits “ampliformes“, ou “push-up“, et donc rembourrés de mousse afin de donner du volume aux petites poitrines...
Interrogés à ce sujet, la quasi-totalité des supermarchés contactés ont refusé de nous répondre. Les deux qui ont accepté d'en parler, Les 3 Suisses et La Redoute, ont aussitôt retiré ces soutiens-gorges de leurs catalogues.
 
DES SOUTIENS-GORGE “AMPLIFORMES” EN TAILLE… 8 ANS

 
Sommes-nous en train de sexualiser les petites filles afin d'attirer l'attention des hommes, ou pour encourager les femmes à utiliser leurs filles, et se projeter à travers elles, pour compenser leur propre manque de sex-appeal ?

 
C'est incroyable comme les marques sont maintenant prêtes à exploiter les trucs dégoûtants de pédophiles pour alimenter un marché noir qui n'a pas sa place dans notre société et encore moins à proximité de nos enfants.

 
Aujourd'hui, ce sont les mères qui paient ce genre de marketing de l'érotisation des enfants. A terme, ce seront leurs objets sexuels de filles qui le paieront.

 

“Un nouvel exemple de la sexualisation des petites filles”......3

ça parait anodin cette danse qui plaît aux enfants?? et pourtant c'est pas si anodin que ça 
 
Cette danse érotique ,  ces enfants qui sont pour leurs parents " des adultes miniatures"
 
 
 
Aujourd'hui, ce sont les parents,ou famille qui paient ce genre de danse pour faire plaisir aux enfants,"l'érotisation des enfants" deviens pas un plaisir pour l'enfant,mais quelque chose de jouissif pour les parents.
 
 
A terme, ce seront leurs objets sexuels de filles qui le paieront.

 

Après avoir joué érotiquement avec leur corps,les petites filles..........

Après avoir joué à la “putain“, voici donc les petites filles invitées à jouer à la maman en nourrissant leur poupée avec de (faux) seins.....
 
 se désole Crêpe Georgette, très énervée, dans un billet intituléAllaite et tais-toi, où elle propose également à la société Berjuan Toys de créer également :

 
1. le téton crevassé (tant qu'à faire)
2. le poupon pénis (tant qu'à initier la femme à ses futurs rôles, autant l'initier à tous).

Allaite et plais toi

Parents, si vous ne savez pas quoi offrir à vos enfants filles (attention vérifiez avant) j'ai ce qu'il vous faut.
Voici des cadeaux utiles, pratiques et en plus propres à permettre à la future femme de travailler ses futurs rôles. Maman ET putain.
 
Allaite et plais toi


 
1. Le soutien-gorge rembourré dés 8 ans.
Avec cela, vos gamines sauront comment mettre en avant leurs atouts, et savoir comment, plus tard, obtenir un job.
Je conseille également les talons de 7 cm minimum afin d'expérimenter l'entorse le plus tôt possible.
2. La poupée pour apprendre à allaiter.
On avait déjà le chariot pour apprendre à balayer, le poupon qui fait pipi, passons à ce défi majeur du 21eme siècle. Apprendre à une gamine de 8 ans à allaiter un poupon.Comme maman. Au passage non une gamine ne joue pas « naturellement » à la poupée. Le jeu, sexué, est appris, inculqué et pas inné et instinctif.  Je vous renvoie au passage  à l'étude Fisher Price dont je parlais dans cet article.
Je propose à la société Berjuan Toys d'également créer
1. le téton crevassé (tant qu'à faire)
2. le poupon pénis (tant qu'à initier la femme à ses futurs rôles, autant l'initier  à tous).
ET rappelez vous. Dieu soutient l'entreprise qui a créé le poupon qui allaite.
Voici l'article de la fille aux craies sur le sujet qui présente un avis contradictoire (et intéressant).
 
Article repris sur le site: http://www.crepegeorgette.com/2011/03/29/allaite-et-plais-toi/dont je vous encourage d'aller visiter au plus vite ,afin de lire par vous même,les nombreux témoignages,n'oubliez pas de poser aussi le votre,ce qui ferras plaisir j'en suis sûr à la créatrice de ce site!! Merci pour elle!!


 

Les dérapages

L'ère actuelle subit une provocation et une sollicitation sexuelles permanentes avec pour corolaire une banalisation affligeante du sexe-marchandise et de la pornographie. 70% du contenu du Web concerne le sexe ou y est lié. Les sites pornographiques sont en recrudescence et l'industrie du divertissement pour adultes génère quelques trois à cinq milliards de dollars de chiffre d'affaires annuel.Sous l'appellation insidieuse de « porno chic », c'est dans les années 1990 qu'est née la pornographisation, à savoir le recyclage d'archétypes pornographiques dans la publicité, la mode, la littérature, la presse écrite, la télévision, internet, les comportements et les fantasmes sexuels, etc.
 
Les dérapages

 
Protégeons les enfants...
Ces domaines participent tous, non plus à la suggestion, mais plutôt à l'exhibition et à l'ordonnance de normes à suivre en matière de sexualité. Pour ne pas être taxé de ringardise, les jeunes et les moins jeunes sont constamment, assidûment, pressés d'adopter de nouvelles pratiques sexuelles et de consommer les produits de l'industrie du sexe : films, gadgets sexuels, etc. Les médias se chargent de multiplier les reportages complaisants sur des stars du porno, les prostituées heureuses de l'être et les industries du sexe. Les magazines féminins, entre autres, testent et promeuvent les produits des sex-shops. Leur message est le suivant : presque tout le monde a une vie sexuelle excitante et riche, excepté vous ! Vous connaîtrez l'épanouissement sexuel et personnel en adoptant d'autres postures et pratiques sexuelles, en vous inspirant de la pornographie, en usant et abusant des gadgets sexuels ! 
Ce qui est mis en avant c'est la connaissance technique du corps et la performance sexuelle : la sexualité du devoir conjugal a glissé vers la sexualité du devoir de performance.
 

Les victimes 1. Les pré-adolescentes et adolescentes

Entre huit et treize ans, les filles construisent leur identité, leur valeur personnelle, leurs intérêts. Cette tranche d'âge se caractérise par le désir d'être conforme, le désir d'être normal. Or, le Marché a vite compris qu'il lui faut fidéliser très tôt cette population vulnérable pour qu'elle adopte des habitudes de consommation voulues : ainsi, les pré-adolescentes d'aujourd'hui ont un univers qui leur est propre en matière de style, de musique, de revues, de gadgets, de « mal-bouffe », etc. La publicité et les produits destinés auxjeunes filles véhiculent un même message : c'est normal qu'elles soient sexy, qu'elles s'habillent sexy et adoptent des attitudes sexy pour plaire aux garçons et être disponibles sexuellement à tout âge.
A peine sorties de l'enfance, les adolescentes sont propulsées dans un monde d'adulte sans avoir eu le temps d'explorer leur propre désir. Au même âge, les garçons sont protégés des sollicitations médiatiques, tandis que les adolescentes ressemblent à s'y méprendre à des femmes sexuées : ce sont de très bonnes clientes pour les salons de bronzage, les centres de conditionnement physique, les studios de body piercing et l'industrie des cosmétiques. Proies idéales des marchands de mode, elles s'affublent de mini-débardeurs, de string ; métamorphosées en mini-femmes fatales, elles exposent leur nombril à l'air, apprennent à se mettre en valeur et à séduire : prisonnières du regard de l'autre pour exister, elles deviennent des objets du désir, alors qu'elles n'ont pas encore les moyens d'être sujets de désir. Les parents sont parfois dépassés, parfois complices face à la pression sociale.Eux qui pourtant exècrent les pédophiles donnent à voir leurs enfants comme objets sexuels :
 
 
les enfants érotisés risquent de devenir des enfants consommables, des marchandises sexuelles, mais également des consommateurs de pornographie.
 
Les professionnels de la santé et de l'éducation constatent des effets inquiétants de la sexualisation précoce chez les jeunes filles : 
· trouble du schéma corporel (syndrome du top model : idéal esthétique insensé et incompatible avec la santé que les filles s'efforcent d'atteindre en s'automutilant de leurs formes naturelles par la restriction alimentaire) ;
· chirurgie plastique pour augmenter le volume mammaire etinjection de Botox ;

Les victimes 1. Les pré-adolescentes et adolescentes

 
dépression ;
· augmentation des troubles alimentaires (boulimie, anorexie, carences alimentaires, troubles métaboliques, risques accrus d'ostéoporose) ;
· tabagisme, prise d'alcool et de drogues ;
· perte de l'estime de soi liée à la détresse psychologique et liée aux idées suicidaires : la préoccupation permanente del'apparence, de l'attraction physique, du poids et des mensurations entraînent un sentiment de honte, une diminution de l'acuité mentale, de l'anxiété ;
· taux de suicide plus élevé chez les filles que chez les garçons. Lediscours médiatique laissant croire à une émancipation des filles, à un « girl-power » qui les encourage à prendre leur place et à s'affirmer, est un leurre : les filles sont inconscientes des demandes contradictoires des messages sexuels : il leur est demandé ouvertement d'être séduisantes et en même temps d'être passives et dépendantes. Elles ne sont pas aidées à sortir du rôle traditionnel les obligeant généralement à prendre soin des besoins des hommes en niant leurs propres besoins.
· phobie scolaire ;
· relations sexuelles précoces et problèmes rattachés à la contraception, avec l'idée que la sexualité et l'amour sont centrés sur la consommation ; 
· maladies sexuellement transmissibles ;
· interruption volontaire de grossesse ;
· violence dans les relations amoureuses ;
· risques accru pour les filles d'agressions sexuelles, de pédophilie, de prostitution, de pornographie : une fille de dix-onze ans précocement sexuée a conscience de son pouvoir de séduction sur la gent masculine, mais il s'agit de sa part d'une demande affective, de la reconnaissance de sa valeur et non d'une sollicitation sexuelle.

 
Les victimes 1. Les pré-adolescentes et adolescentes

 
L'hypersexualisation des jeunes filles va de pair avec la pornographisation des codes sociaux : les adolescentes en sont les principales victimes, car considérées comme « coincées », « out » lorsqu'elles ne se soumettent pas aux normes sexuelles véhiculées par la pornographie qui affecte la culture en profondeur et modélise les conduites sexuelles, et au-delà du sexe, les comportements des femmes et des hommes. Ainsi, pour bon nombre d'individus, la pornographie est l'unique lieu d'éducation sexuelle.
Paradoxalement, bien que nécessaires, les campagnes de prévention du sida — que Jean-Claude Guillebaud qualifie de « pornographie sanitaire » —, réduites à une approche fonctionnelle et hygiéniste de la sexualité, ont entraîné quelques effets pervers et délivré un message à double contrainte. La diffusion d'une parole publique très explicite sur la sexualité a induit des scénarios auprès des jeunes et certains se ““les ont appropriés comme si c'était une obligation : pour les adolescents, si le comportement existe, il faut l'adopter (obligation de performance). Dans les cours d'écoles, des enfants de six à douze ans se livrent à des attouchements sexuels sur d'autres, procédant jusqu'à la sodomie.
Le phénomène effraie et suscite fort heureusement des réactions saines de la part des mondes adulte et associatif qui commencent à développer des programmes d'intervention pour aider les jeunes à déjouer les pièges des expressions sexuelles.

 

2. Les pré-adolescents et adolescents

Leur monde est volontairement teinté de rouge et de noir où se bousculent la violence, les super héros, les voitures, les sports extrêmes, les bandes-dessinés, le hip hop, le rap au message sexiste, virulent et dégradant pour les femmes. Moins préoccupés par leur apparence, ils adoptent volontiers des vêtements extra-larges, une attitude grossière et un langage ordurier... ça les rend populaires. 
Même si les pré-adolescents sont plus tardivement les proies des industries du sexe que les filles au même âge, ils n'échappent pas à la logique du libre marché et à son formatage. 
Pour les garçons comme pour les filles, plus la consommation de la pornographie est précoce, plus le corps sera transformé et emblématisé (tatouage, piercing).
 

2. Les pré-adolescents et adolescents
 

Les adultes

Les adultes
La sexualité est essentiellement une activité relationnelle et interpersonnelle. La pornographie, comme l'érotisme en général, est une sexualité fantasmée, narcissique ou masturbatoire (c'est-à-dire avec soi-même), une relation entre moi et une personne imaginaire, une personne de papier ou d'écran de télévision. La pulsion sexuelle d'une personne accoutumée, droguée à l'érotisme et à la pornographie tend à s'hypertrophier et à être constamment en éveil : l'individu projette ses fantasmes sexuels sur tout ce qu'il rencontre. Le cas des pères de famille est préoccupant : le transfert de leurs fantasmes sexuels sur leur épouse peut le conduire à l'érotisation de leur attachement affectif pour leur progéniture. C'est pourquoi de nombreux pères de famille consommant de la pornographie en viennent à abuser sexuellement de leurs enfants.
 
Les adultes
Beaucoup de témoignages confirment que la pornographie cause une désagrégation quasi-schizoïde de la sexualité du consommateur : celui-ci s'enferme peu à peu dans un univers masturbatoire et perd tout intérêt pour sa conjointe, ses enfants, ses responsabilités familiale et affective. La pornographie favorisedirectement ou indirectement la recrudescence des divorces,l'augmentation de l'homosexualité, de la bisexualité, de la sodomie, de la prostitution, du sida.
L'érotisation et la pornographisation de la société causent devéritables préjudices humains et matériels.

La pornographie enfantine

Qu'est-ce la pornographie enfantine ?
Les différents pays ont des définitions légales distinctes de la pornographie enfantine. La définition minimum décrit la pornographie enfantine comme une image d'une personne mineure se livrant à des activités explicitement sexuelles ou étant représentée de façon à donner cette impression.

En plus, être sciemment en possession de pornographie enfantine est un délit dans certains pays (comme en Espagne par exemple). Parfois, la définition de pornographie enfantine comprend les images générées par ordinateur, les images modifiées (images transformées) ou les personnages de dessin animé. L'exigence que l'image (texte, etc.) en question doit montrer un enfant se livrant à des activités explicitement sexuelles a créé certains problèmes par rapport aux photos d'enfants maltraités n'illustrant aucune activité sexuelle.

 
La pornographie enfantine

 

Quelle est la différence entre la pornographie enfantine et la pornographie adulte ?

Quelle est la différence entre la pornographie enfantine et la pornographie adulte ?
 
Quelle est la différence entre la pornographie enfantine et la pornographie adulte ?
Beaucoup de personnes ont du mal à s'imaginer des images pornographiques avec des enfants et ne comprennent donc pas la signification de « pornographie enfantine ». L'essentiel est de retenir que la pornographie enfantine est l'illustration d'un crime perpétré sur un enfant. Des images de personnes adultes se livrant à des activités sexuelles avec un enfant ne sont rien d'autre que des images de violences sexuelles sur cet enfant. Ce sont des images de l'abus sexuel d'un enfant, et par la distribution de ces images sur Internet, cet enfant est violé encore et encore.

La pornographie adulte a différentes définitions légales et des niveaux d'acceptabilité différents d'un pays à l'autre. La définition minimum décrit la pornographie comme une image (vidéo, DVD, audio, texte)
d'une personne se livrant à des activités explicitement sexuelles ou étant représentée de façon à donner cette impression. Au niveau européen, il y a un large consensus sur le fait que l'accès à certaines documentations peut affecter l'évolution physique et mentale des mineurs et ne devrait donc être permis qu'aux adultes dans le cas de la pornographie adulte.

Qu'est-ce que le « grooming »?

Qu'est-ce que le « grooming »?
 
Qu’est-ce que le « grooming »?

 

Le « Grooming » se produit lorsque des pédophiles utilisent des salons de chat pour « préparer » des enfants à l'abus en prétendant être eux-mêmes des adolescents. Les salons de chat sont hébergés sur Internet et n'importe qui dans le monde entier peut y avoir accès. Les salons de chat sont souvent considérés sûrs par les enfants en raison du caractère public des conversations ET de la perception incorrecte de l'anonymat. 

Les pédophiles entament des conversations avec des victimespossibles pour établir une relation avec la victime et obtenir le plus d'informations possibles sur leur emplacement, intérêts, passe-temps et expériences sexuelles. Cette relation évolue alors vers des conversations à caractère sexuel et les pédophiles envoient parfois des images pornographiques – montrant des adultes et des enfants - aux enfants pour leur instiller un sentiment d'acceptation et de normalité. Ils s'en servent alors pour saper la réticence des enfants à participer à des activités sexuelles. Ainsi, ils évitent aussi que la victime demande de l'aide à ses parents ou enseignants parce qu'elle se sent coupable d'avoir échangé de telles images. 
Pour de plus amples informations sur le “grooming”, visitez http://chatdanger.com

Quels sont les risques liés au blog des enfants?

Grâce aux blogs, de très nombreux enfants ou adolescents ont découvert un nouveau moyen de s'exprimer. Mais cette présence sur le réseau comporte aussi une exposition de leur personne. Le risque de voir des personnes mal intentionnées utiliser les blogs de mineurs pour obtenir des informations personnelles, ou « d'amis » les utiliser pour harceler un camarade doit dès lors être pris en compte.






En effet, le caractère souvent personnel du blog conduit à la révélation d'un nombre parfois important de données personnelles ou intimes (photos, âge, lieu de résidence, lieu de scolarisation, loisirs et clubs, courriel, messagerie vocale, adresse de messagerie instantanée voire numéro de téléphone) qui permettent de reconstituer le parcours, les activités et les centres d'intérêt des mineurs. 
 
Quels sont les risques liés au blog des enfants?

Associées à l'interactivité du blog, qui facilite le contact direct avec l'auteur du blog, ces données peuvent présenter un caractère dangereux pour le mineur lui-même. Il est donc préférable de ne pas publier certaines de ces informations, dont l'utilisation malveillante pourrait être gravement préjudiciable au mineur.
Enfin, le blog peut être l'un des outils utilisés dans des cas de harcélements, avec le mail ou le téléphone mobile.



Conseils clés : 
• Ne jamais publier d'information trop personnelles sur son blog : adresse, numéro de téléphone, établisement ou centres de loisirs fréquentés
• Ne pas répondre aux messages haineux
• Si l'enfant est harcelé sur un blog , le signaler au fournisseurs d'accès aux sites web ou les administrateurs des blogs. Celui-ci pourra éventuellement bloquer l'expéditeur des messages incriminés.
• Prévenir les équipes éducatives à l'école, si le phénomène semble provenir de l'établissement scolaire de l'enfant. L'un des signes sera alors des signes d'ostracismes de la part de ses camarades scolaires.
• Aviser la police si le harcèlement persiste. A cette fin des «preuves» sont toutefois nécessaires pour que celle-ci puisse mener son enquête. C'est pourquoi les enfants doivent, au cas-où, sauvegarder l'article dont ils font l'objet. Il est également important de noter la date et l'heure d'envoi/réception des messages problématiques.

 

Que font vos enfants quand ils surfent sur des réseaux sociaux en ligne ?

Voici quelques pistes pour mieux comprendre quelles sont les activités de vos enfants lorsqu'ils se connectent à des réseaux sociaux :
Que font vos enfants quand ils surfent sur des réseaux sociaux en ligne ?

 





Il convient tout d'abord de se rappeler que chaque réseau a sa particularité, voire son identité. Chaque réseau appelle donc un usage adapté, qui diffère selon sa raison d'être :
-         Permettre la diffusion et le partage d'expressions créatives (par ex, My Space)
-         Se retrouver entre anciens amis ou camarades (My Space, Trombi, Copains d'avant, Facebook)
-         Générer des rencontres entre voisins (Peuplades)
-         Favoriser des espaces d'échanges réels ou virtuels (Facebook, Twitter)
 
Voici quelques exemples d'utilisation des réseaux sociaux au quotidien par leurs membres :
-         Ils peuvent tout d'abord y échanger des photos, des images, de la musique, des documents, des liens vers des sites appréciés.
-         Ils se racontent leurs soirées, leurs activités, leurs « délires » et parlent de leurs goûts, de leurs envies.
-         Ils expriment leurs états d'âme, leurs sentiments et font part aux autres de leurs humeurs.
-         Ils peuvent également témoigner de leurs expériences diverses, se mettre en relation les uns avec les autres ou retrouver des amis perdus de vue. Ils en profitent pour entretenir et étendre leurs différents réseaux sociaux à des amis d'amis, voire de nouveaux amis rencontrés sur la toile.
-         Ils gèrent aussi leurs agendas en proposant des invitations, en notant des évènements importants qu'ils décident de partager (ex : anniversaires...).
-         Enfin, ils peuvent discuter en simultané sur des chats ou poster des messages pour réagir à des forums de discussions thématiques plus ou moins ouverts et contrôlés.
 
Voici quelques conseils qui pourront vous aider à guider vos enfants dans leur utilisation des réseaux sociaux :
Rappelez-vous - et rappelez-leur - que les réseaux sociaux ne sont destinés qu'aux adolescents de plus de 13 ans. Il y a des raisons pour ceci. Et il est important à la fois de respecter cette règle et en général de ne pas mentir sur son âge pour bénéficier de systèmes qui peuvent être mis en place pour protéger les jeunes.Parlez avec eux du genre d'informations et images qu'ils mettent en ligne et pensez à cette occasion à leur rappeler les règles concernant le droit à l'image.Intéressez-vous à leurs profils! Demandez-leur par exemple comment ils l'ont créé, selon quels critères ils l'ont paramétré, qui ils acceptent comme amis, ce qu'ils font avec eux...N'hésitez pas à discuter de leur vie sur le réseau et à leur apporter vos conseils. Que font-ilsune fois connectés sur leur profil: discussions avec des amis d'école? publication de photos, recherche de nouveaux morceaux de musique? participation à des groupes de discussions? Après tout, ce sont les mêmes questions que vous posez quand ils rentrent de l'école, mais appliquées à un autre espace.A l'occasion de ces discussions, vous pouvez leur rappeler que les mêmes règles s'appliquent en ligne et ailleurs.Plus avant, les réseaux sociaux sont l'occasion de réfléchir en famille à de grandes questions : c'est quoi un ami? quelle représentation de soi veut-on donner? toujours la même? doit-on tout dire à tout le monde? et l'intimité, la vérité dans tout ça?Les adolescents ont besoin de vos repères, de vos règles et de vos conseils lorsqu'ils progressent en ligne. Ils sont en général très preneurs d'informations, notamment légales, qui leur permettent de cadrer leurs pratiques. Si vous êtes un peu perdus, servez-vous des conseils que nous leur donnons. 


 

Votre enfant surfe, quelles précautions prendre ?

Un enfant qui surfe,
 
Votre enfant surfe, quelles précautions prendre ?

 
 
cela peut recouvrir des pratiques très diverses comme la navigation-découverte au gré des clic, la préparation d'un exposé, l'aide aux devoirs en ligne, la recherche d'un jeu, d'une personne, d'une adresse ou d'un produit, ou encore la consultation de vidéos ou l'écoute de radios.




Chaque usage requérant une approche éducative spécifique, des sections de ce site abordent spécifiquement la recherche d'information, le téléchargement, les jeux, le chat, les blogs, les réseaux sociaux, et la téléphonie mobile. nous vous invitons à vous y référer.Il n'en reste pas moins qu'il existe des précautions de base qui s'appliquent dans tous les cas, et qu'il convient de garder à l'esprit.

Conseils clés
• Installer et paramétrer le contrôle parental
• Faire en sorte qu'Internet soit un sujet dont on puisse parler en famille comme de tout le reste, et ne devienne pas une chasse gardée des jeunes, quel que soit le niveau informatique des adultes qui les entourent
• Eveiller chez l'enfant l'esprit critique face à ce média particulièrement fascinant : veiller à ce qu'il ne soit pas passif face à l'écran et au flux d'information qu'il reçoit et qu'il émet
• Lui donner des bases techniques et méthodologiques pour s'orienter sur le web
• Lui apprendre à compléter les formulaires en ligne avec précaution, sans donner trop d'informations personnelles.
• Lui dire d'éteindre tout de suite l'écran en cas d'image choquante. Et d'en parler avec un adulte.
• Etre conscient que navigation et publication sur Internet laissent des traces que l'on ne maîtrise pas le plus souvent.
• Signaler tout site ou image (pornographie enfantine, incitation ou provocation à la discrimination, à la violence ou la haine) qui sembleraient illégaux sur http://www.pointdecontact.net

Voici les "profils types" de pédophiles qui trouvent leurs victimes via internet

Une étude européenne s'est penchée sur le cas des adultes qui entrent en contact avec des enfants via internet. Les résultats ont permis d'élaborer des "profils de pédophile".
 
Des chercheurs de l'université de Mons ont participé à une étude européenne visant à en savoir plus sur les adultes qui entrent en contact avec des enfants sur le net. Associés à trois autres universités européennes, ils ont dressé le profil de ces prédateurs. Pour cela, ils ont travaillé en collaboration avec la police et avec des "grommers", soit des pédophiles qui utilisent internet pour créer un contact avec leurs victimes.
 
"L'escalade peut être assez rapide"
Ces abuseurs ont en moyenne 40 ans, et pour 35% d'entre eux, ils ont des antécédents judiciaires. "En général, la prise de contact se fait via internet.Donc via les réseaux sociaux et les boîtes mail. L'escalade peut être assez rapide, et là l'agresseur peut commencer à utiliser le téléphone et devenir beaucoup plus proche de sa victime", a expliqué Vanessa Milazzo de la faculté de Psychologie de l'université de Mons.
L'étude a également permis de dresser un portrait "type" des victimes. Il s'agit à 84% de filles, souvent âgées de plus ou moins 13 ans.
 
Trois catégories
Les agresseurs, eux, ont été divisés en trois groupes: ceux qui recherchent un simple contact, d'autres qui apprécient la manipulation, et enfin ceux qui ont pour objectif d'abuser sexuellement de leur victime.

La règle à retenir est de ne surtout pas donner d'information personnelle a un individu que l'on ne connaît pas, et avoir une adresse mail avec des pseudos plutôt que le nom de famille s'il y a échange de courrier électronique.
 

 

L'article du dessus explique les tenants....

Le reportage d'en dessous,explique les aboutissants

Partie 1 : 

Partie 2 : 

Triste réalité d'un monde qui part en dérive...

Diable

 
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